Mondes Étranges HS 10 - Légendes urbaines
Faîtes le tour en 100 pages des plus fameuses légendes urbaines et découvrez les mystères des rumeurs les plus populaires !
SOMMAIRE
• QU’EST CE QU’UNE LÉGENDE URBAINE ?
• L’ODEUR DU CRIME
- Vous reprendrez bien un peu de chair humaine ?
- Snuff movie, l’horreur en vrai ?
- La légende des vols d’organes
- Le gang des phares
- La traite des Blanches
- Le gang des casquettes blanches
• HANTISE
- Dame blanches, auto-stoppeurs fantômes
- Les babyphones hantés
- La Tour de Nesle symbole de la débauche macabre
- Les photos fantômes, des fées dans l’appareil
- La Porsche maudite de James Dean
• NOS AMIS LES ANIMAUX...
- Des alligators dans les égouts
- Des insectes avalés en dormant
- Le chat dans le four à micro-onde
- Doberman, le gardien dévoreur
• PEUR SUR LA VILLE
- Satan et la pyramide du Louvre
- La Tour Eiffel montée sur verins hydraulique
- Le bébé capricieux de Lunéville
- L’Homme rouge des tuileries
- Amityville, la maison du diable
- Le mystère du Loch Ness
Edito
Une légende urbaine, aussi appelée légende contemporaine, est un récit court qui se rapproche par sa structure du récit mythologique ; longtemps l’oralité et son pouvoir amplifiant ont donné vie à ces récits souvent horrifiques ou inquiétants ; aujourd’hui, c’est sans doute la « toile » qui demeure à la fois le principal vecteur, mais également le principal pourvoyeur de ce que l’on a coutume d’appeler les légendes urbaines.
Par déformation la notion de légende urbaine s’apparente à une rumeur, un canular ou à un lieu commun. C’est sa structure narrative sous forme de récit à base de témoignage fréquemment inconnu qui assoit la légende urbaine et en fait une histoire qui présente l’apparence du vrai. Ainsi, dans les années soixante-dix, on affirma que des dizaines de femmes disparaissaient dans des
cabines d’essayage d’une certaine chaîne de magasins pour alimenter la fameuse « traite des blanches »… Les récits de ce genre, toujours infondés, mais rapportés fréquemment transforment la rumeur en une sorte de fait de société anxiogène ; par exemple, la multiplication des animaux interdits dans certaines cités aurait entraîné le décès de plusieurs citoyens mordus par des araignées venimeuses… On voit donc que la légende urbaine utilise souvent le même ressort, celui de l’angoisse et du témoignage. C’est certainement le cinéma américain qui s’est fait le colporteur d’un nombre important de légendes contemporaines qui furent adaptées à différents pays, ainsi en est-il des apparitions fantomatiques des « dames blanches » ou des meurtriers qui frappent les femmes dans les parkings souterrains… On voit que les récits qui forment le corpus en création permanente des légendes urbaines s’adapte à notre environnement ainsi qu’à nos peurs.
Par exemple le fameux film Le projet Blair Witch reprend-il le thème de la caméra qui filme l’horreur toute seule, ce qui avait fait à l’époque le succès d’un autre film horrifique, le célèbre Cannibal Holocauste. Si ces deux monuments du film d’horreur utilisent la technique de la légende urbaine avec les caméras tombées à terre filmant l’horreur, le deuxième film fut accusé d’avoir réellement filmé des meurtres en direct, c’est ainsi que naissent les fameuses légendes urbaines…
Bonne lecture,
La rédaction
Pays de fabrication | France |
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Référence | 10330-SC3 HS 10 |
Éditeur | Diverti Éditions |
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