La Waffen SS - Histoire du Second Conflit Mondial 62
Vous qui êtes passionné(e) par l'Histoire, voici un numéro particulièrement bien documenté sur les sujets les plus fascinants de la guerre : la Waffen SS, les chars d'assaut britaniques, la bataille de Mars 1945… 160 pages pour comprendre l'Histoire et approfondir vos connaissances.
Tout savoir sur l'histoire de la Waffen SS
Numéro spécial de 160 pages !
Au sommaire :
Le grand Dossier : la WAFFEN SS
« Incarnation de la terreur, exécuteurs du génocide, les SS représentent comme nulle autre organisation toute la folie du IIIe Reich. Comment la petite garde rapprochée d’Hitler s’est-elle muée en quelques années en État dans l’État totalitaire du Führer ? Qui étaient ses têtes pensantes ? » Quid du recrutement ? Quel fut son rôle dans la Shoah par balles ? Ces résultats au feu furent-ils réellement supérieurs à ceux de la Wehrmacht ? Autant de questions qui permettent de cerner ce phénomène particulier d’une armée européenne fanatisée par une doctrine qui a fait de la supériorité raciale sa pierre d’achoppement…
Eclairages sur une bataille :
Mars 1945 : les Alliés anglo-saxons aux portes du Reich
Matériel :
Les chars britanniques pendant la Seconde Guerre mondiale
Pionnière et inventeur des engins blindés chenillés, la Grande-Bretagne entre dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale avec une force composée de seulement 79 tanks moyens de type moderne. Le reste de ses moyens cuirassés comprend 65 véhicules de soutien d’infanterie, lents, lourdement blindés et de petites dimensions ; 1 000 tanks légers armés uniquement de mitrailleuses et quelques survivants à bout de souffle des 160 chars moyens Vickers construits dans les années vingt. Hormis la couverture de la retraite du corps expéditionnaire britannique, les blindés anglais n’apportent qu’une faible contribution à la campagne de 1940, gagnée par un adversaire mettant en pratique des tactiques qui sont, ironiquement, d’origine britannique.
Histoire :
Des bals du Front populaire... aux balles de juin 1940
Biographie :
Wilhelm Canaris : le maître espion du Troisième Reich
Personnalité atypique au parcours romanesque, l’amiral Canaris est l’une des rares personnalités de l’appareil d’État allemand résolument antinazie…
EDITO :
Incarnation de la terreur, exécuteurs du génocide, les SS représentent comme nulle autre organisation toute la folie du IIIe Reich. Comment la petite garde rapprochée du Führer s’est-elle muée en quelques années en État dans l’État totalitaire nazi ? Qui étaient ses têtes pensantes ? Quid du recrutement ? Quel fut son rôle dans la Shoah par balles ? Ces résultats au feu furent-ils réellement supérieurs à ceux de la Wehrmacht ? Autant de questions qui permettent de cerner ce phénomène particulier d’une armée européenne fanatisée par une doctrine qui a fait de la supériorité raciale sa pierre d’achoppement… En France, en septembre 1941, les autorités militaires allemandes mettent en place une « politique des otages » afin de répondre aux attentats de la résistance communiste que le parti clandestin monte depuis l’invasion de l'Union soviétique, le 22 juin de la même année. Cette politique est reprise par les SS lorsque ceux-ci prennent en main le maintien de l’ordre en France, en juin 1942.
Au cours des siècles, le Rhin, avec ses 250 mètres de large et son courant impétueux, a toujours représenté un obstacle majeur : cette fois encore, son franchissement constitue une épreuve difficile sur le chemin des Alliés parvenus aux portes du Reich… Parmi la multitude d’officiers supérieurs qui virent dans le national-socialisme au pouvoir, une opportunité de carrière, certains se détachent par une hostilité affichée. Personnalité atypique au parcours romanesque, l’amiral Canaris est l’une des rares personnalités de l’appareil d’État allemand résolument antinazie… À la veille de la Seconde Guerre mondiale, les organes de presse sont extrêmement puissants. Leur analyse est un outil de premier ordre pour l’historien, en cela que leur étude permet de prendre le « pouls du pays », de connaître ses clivages… C’est avec une certaine surprise que l’on découvre le lexique usité par les uns et les autres, un vocabulaire souvent outrancier, d’aucuns diraient « imagé », mais qui ne laisse pas la place au doute, le pays était réellement clivé et les injures… monnaie courante.
Inventeur des engins blindés chenillés, la Grande-Bretagne entre dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale avec une force composée de seulement 79 tanks moyens de type moderne ! Le reste de ses moyens cuirassés comprend 65 véhicules de soutien d’infanterie, lents, lourdement blindés et de petites dimensions ; 1 000 tanks légers armés uniquement de mitrailleuses et quelques survivants à bout de souffle des 160 chars moyens Vickers construits dans les années vingt. Hormis la couverture de la retraite du corps expéditionnaire britannique, les blindés anglais n’apportent qu’une faible contribution à la campagne de 1940, gagnée par un adversaire mettant en pratique des tactiques qui sont, ironiquement, d’origine britannique.
Bonne Lecture,
Claude Toupin et Philippe Ilial.
Pays de fabrication | France |
---|---|
Référence | 14406-HI2 62 |
Éditeur | Diverti Editions |
Nombre de pages | 164 |
Les données personnelles recueillies vous concernant font l’objet d’un traitement effectué par Diverti Editions pour la finalité suivante : attribution d'une note - assortie d'un commentaire - à un produit. Les données sont conservées pendant toute la durée d'existence du produit dans le catalogue du site. Vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de portabilité, d’effacement de vos données personnelles. Pour l’exercer, veuillez vous adresser à : Diverti Editions, 17, avenue du Cerisier Noir, 86530 Naintré ou contact@divertistore.fr. Politique de protection des données personnelles