La Marche de l'Histoire n°15

Au sommaire :
Histoire du terrorisme : le XXIe siècle est né sous le signe du terrorisme. Il n’y a plus de citoyens, dans notre Occident malade, qui ne se sentent à l’abri de manière définitive d’une quelconque attaque venue du bout du monde. À l’ère du numérique, de la mondialisation et de l’instantanéité de l’information, la notion de zone de sécurité paraît être devenue obsolète. Mais si l’histoire lui a donné des moyens d’expansion gigantesques et une technicité toujours plus pointue, le terrorisme ne date pas d’aujourd’hui.

Antiquité : Complots & assassinats à la cour impériale romaine. Régnant sur quatre-vingts millions d’habitants, sur un territoire allant de l’Écosse à l’Euphrate et du Rhin au désert nord-africain, les empereurs sont au départ choisis par succession familiale ou adoption ; mais rapidement, c’est l’armée qui fait et défait les souverains. Quelles ont été les raisons de la plupart des assassinats ? Pouvoir, vengeance... ou précaution ?

La guerre au Moyen Âge + Azincourt. Le Moyen Âge se présente comme une époque très violente, à l’instar de l’Antiquité. La guerre médiévale se dessine comme un conflit fait de sièges et d’« escarmouche » mais les batailles rangées sont rares. Traditionnellement, les hostilités s’arrêtent l’hiver ainsi que pendant les trêves imposées par l’Église. Néanmoins, la figure du guerrier à cheval, le fameux chevalier, peut symboliser cette longue période qui va pourtant connaître de profondes mutations ; la fameuse guerre de Cent Ans participera, par sa durée, à modifier les codes militaires…

Les espions des Lumières : Espionnage militaire et agents secrets au temps de Louis XV. Si le rôle de l’espionnage est de mieux en mieux connu pour le XXe siècle, ce n’est pas le cas pour l’époque des Lumières, un temps pourtant guerrier où les espions eurent à jouer un rôle important dans toutes les armées.

Secrets d’Histoire : le sacre de Napoléon ou l’avènement d’un nouveau monarque. Parmi les plus grands mythes de la nation française, celui du sacre de Napoléon Bonaparte entre au Panthéon. Connue de tous, immortalisée grâce à la virtuosité du peintre Jacques-Louis David, la cérémonie qui se déroula à Notre-Dame de Paris, le 2 décembre 1804, scelle le destin de la France.

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