Carthage, la rivale de Rome - Mondes Anciens 7
Cet ouvrage vous transporte dans l'histoire des civilisations anciennes : approfondissez vos connaissances !
Le grand dossier : CARTHAGE, la cité qui défia Rome
Et les sujets qui vous intéressent :
- Le tombeau perdu d’Alexandre Le Grand
- L’énigmatique momie de Khuwy
- Le fort de Burghead reconstitué
- Un trésor pré-viking découvert au Danemark
- Site légendaire : Saqqarah, témoignage de l’Égypte pharaonique
- Mythes et légendes : Sorcières et Magiciennes
- La femme et la magie
EDITO :
DELENDA CARTHAGO ! « Il faut détruire Carthage ». Cette locution latine attribuée à Caton l’Ancien et réutilisée avec force humour dans l’album d’Astérix, Les lauriers de César, est symptomatique de l’enjeu que représentait le sort de Carthage pour la République romaine. Fondée peu avant Rome par des navigateurs originaires de Tyr, Carthage s’était hissée au rang de grande puissance maritime et commerciale ; rivalisant autant qu’elle s’opposait à l’hégémonie grecque dans tout le bassin méditerranéen. Dotée d’une puissante flotte militaire et d’une armée de mercenaires, Carthage pouvait faire de l’ombre à la jeune République romaine. Alliés de circonstance dans la Guerre de Pyrrhus, Carthage allait devenir une rivale, mais surtout un obstacle à l’expansion à la fois territoriale et économique d’une Rome qui prenait alors son essor. Les sacrifices humains à Moloch Baal qui entachèrent la réputation de la cité punique furent surtout un puissant vecteur de diabolisation enclenché par Rome. Retour sur une cité-État thalassocratique qui fit trembler Rome et dont l’anéantissement permit à la cité des Sept collines d’affirmer son hégémonie sur le bassin méditerranéen…
La quête du tombeau d’Alexandre le Grand, à l’instar de celle du Graal ou de l’Arche d’alliance, constitue une forme d’absolu pour tous les archéologues. Insuffisamment sourcé, plusieurs fois localisé, le tombeau d’Alexandre – certainement détruit par les raz de marée ou/et les persécutions monothéistes – demeure une énigme toujours fascinante…
La figure de la sorcière a toujours existé ; littéralement « diseuse de sort », elle a traversé les siècles pour devenir au Moyen Âge un archétype satanique. L’image de la sorcière a été beaucoup récupérée par les contes et la littérature fantastiques du XIXe siècle ; depuis les années soixante, l’image de la sorcière sert également de véhicule idéologique en servant la cause des militantes féministes. Retour sur un archétype féminin…
Bonne lecture !
La rédaction.
Pays de fabrication | France |
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Référence | 12934-HIP 07 |
Éditeur | Diverti Editions |
Nombre de pages | 100 |
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